Vidé














Les murs seuls restent debout
Découverts enfin après tant de pudeur
Le temple des ordinaires et des passions cinglantes
Ferme ses portes sur la réminiscence
Le lieu rebondit sur son propre écho
Vidé de tout ce qui le regardait vivre
Poussière et sables
La limite enfin se replie
En rayant l'inutile
La force de l'acte est posée au centre du  monde



Août 2012


Déménagement N°11


Jour moins un